Google et Sesame Street font équipe pour placer la littératie numérique au cœur de l’éducation des plus jeunes. En s’appuyant sur des personnages aimés des enfants et des formats courts taillés pour YouTube Kids, l’initiative combine vidéos pédagogiques, ateliers en bibliothèque et ressources pour les adultes. L’objectif est clair : développer des habitudes numériques saines, protéger des risques et cultiver l’esprit critique dès l’école primaire.
Dans les classes, à la maison et dans les médiathèques, l’alliance promet des contenus concrets et ludiques, pensés pour s’intégrer aux parcours déjà existants (Google for Education, Pix) et aux usages familiers (Chromebook, applications éducatives, plateformes comme Lumni et Bayam). Pour les professionnels (enseignants, éducateurs, community managers), c’est une opportunité d’aligner pédagogie, culture web et engagement durable.
- Partenariat stratégique : contenus co-créés par Sesame Workshop avec le soutien de Google.org, hébergés sur YouTube et déclinés en ateliers IRL.
- Publics visés : enfants 4-12 ans, familles, enseignants, bibliothécaires, mais aussi éducateurs et professionnels du social.
- Compétences clés : hygiène numérique, vérification des sources, empathie en ligne, gestion du temps d’écran, sécurité et confidentialité.
- Écosystème outillé : YouTube Kids, Google Families, Chromebook en classe, Pix, Kiddle, Lumni, Bayam, ressources de la Bibliothèque nationale de France (BNF.
- Mise en action : vidéos courtes, fiches activités, ateliers en bibliothèque, parcours de formation pour adultes et scénarios d’apprentissage réutilisables.
L’enseignement de la littératie numérique pour la formation à une citoyenneté en ligne avec Google et Sesame Street
Le pari est simple : utiliser le pouvoir des personnages de Sesame Street pour transmettre, avec Google, des réflexes numériques essentiels. Les enfants reconnaissent Elmo ou Cookie Monster, ce qui abaisse la barrière d’entrée et crée un cadre de confiance. En quelques minutes, une capsule explique comment “s’arrêter et respirer” avant de cliquer, partager ou réagir. Ce geste, répété, devient une habitude utile autant à l’école que dans la vie quotidienne.
Le dispositif s’inscrit dans une stratégie à 360°. Sur YouTube, des vidéos courtes sont organisées en playlists pour un visionnage sécurisé via YouTube Kids. Sur le terrain, des ateliers portés par des bibliothécaires et des médiateurs numériques offrent la pratique et l’échange. En parallèle, des modules de développement professionnel forment enseignants, éducateurs et travailleurs sociaux afin qu’ils relaient et incarnent les bonnes pratiques dans leurs contextes.
Concrètement, vous pouvez planifier un cycle de quatre semaines en classe ou en centre de loisirs. Chaque séance démarre par une vidéo, puis se poursuit par un jeu de rôle ou une activité “papier-crayon”, avant un court débrief. Le vendredi, un e-mail récapitulatif est envoyé aux parents, dans l’esprit des “récapitulatifs destinés aux représentants légaux” proposés sur Google Classroom, pour encourager la continuité à la maison.
La médiathèque de quartier où travaille Maya, médiatrice numérique, a testé un format “duo” enfant-accompagnant. Résultat : une meilleure rétention et des discussions plus sereines à la maison au sujet du temps d’écran. L’équipe a aussi publié des extraits adaptés sur ses réseaux locaux, ce qui a suscité l’intérêt d’écoles voisines et d’associations sportives souhaitant sensibiliser leurs jeunes licenciés.
- Objectifs pédagogiques phares : autonomie, esprit critique, sécurité et bienveillance en ligne.
- Formats utilisés : vidéos courtes, ateliers en bibliothèque, fiches pratiques pour adultes.
- Plateformes : YouTube Kids pour le visionnage, Google Families pour le paramétrage et les conseils, Chromebook pour l’usage en classe.
- Acteurs impliqués : bibliothécaires, enseignants, parents, éducateurs spécialisés.
| Composant | Rôle | Public | Indicateur de réussite |
|---|---|---|---|
| Vidéos Sesame Street | Déclencher l’attention et illustrer | Enfants | Taux de complétion et de rappel des règles |
| Ateliers en bibliothèque | Pratiquer et échanger | Enfants + accompagnants | Participation, retours des familles |
| Modules pour adultes | Former les relais éducatifs | Enseignants, éducateurs | Nombre de mises en œuvre en classe |
| Guides Google Families | Paramétrer et rassurer | Parents | Activation des contrôles, régularité d’usage |
Pourquoi associer des personnages aimés à l’éducation numérique
L’ancrage émotionnel favorise l’apprentissage. Des recherches longitudinales sur Sesame Street, synthétisées dans “G Is for Growing”, montrent qu’un personnage familier facilite la mémorisation et l’appropriation de comportements prosociaux. Transposée au numérique, cette logique valorise la régulation émotionnelle en ligne, la politesse dans les commentaires et la vérification des sources avant partage. Une combinaison pragmatique pour construire une culture web saine.
- Rituel “Stop & Breathe” pour dompter l’impulsivité.
- Jeux de rôle pour apprendre à signaler et bloquer.
- Cartes “Réfléchir avant de cliquer” pour entraîner le discernement.
Au final, vous disposez d’un dispositif modulable qui parle le langage des enfants tout en répondant aux impératifs des familles et des écoles.

La présence du numérique dans les échanges et interactions sociales : compétences de littératie à développer dès le primaire
Le numérique façonne amitiés, apprentissages et loisirs. Cette omniprésence exige des compétences spécifiques : comprendre l’algorithme qui recommande, reconnaître une publicité déguisée, protéger sa vie privée, ou encore distinguer une source fiable d’un canular bien ficelé. Plutôt que d’interdire, l’approche consiste à entraîner ces gestes au quotidien pour en faire un réflexe.
Le cadre européen DigComp a inspiré de nombreux programmes nationaux, dont Pix en France, qui mesure et développe des compétences clés. Pour les enfants, on privilégie des paliers : chercher une information avec Kiddle, explorer une émission documentaire sur Lumni, découvrir un jeu éducatif sécurisé sur Bayam, puis vérifier une information en classe à partir d’archives de la Bibliothèque nationale de France (BNF. En choisissant des outils alignés à l’âge et au contexte, vous construisez une progression rassurante.
Côté foyers, Google Families aide à paramétrer comptes, limites de temps et filtres, tout en expliquant les “pourquoi” aux enfants. Dans la classe, les Chromebook offrent un environnement homogène, des sessions rapides, et un accès maîtrisé aux ressources pédagogiques. L’enseignant peut ainsi basculer d’une vidéo YouTube Kids à un exercice pratique sans friction, ce qui maintient l’attention et favorise l’expérimentation guidée.
- Compétences info-documentaires : formuler une requête, trier des résultats, citer la source.
- Culture de la sécurité : mots de passe forts, prudence face aux inconnus, respect des limites d’âge.
- Citoyenneté numérique : respect d’autrui, droit à l’image, empreinte numérique.
- Créativité responsable : publier de façon bienveillante, demander l’accord, utiliser des contenus libres.
| Âge | Compétence cible | Outils suggérés | Critères de progression |
|---|---|---|---|
| 6-8 ans | Découvrir et nommer les risques | YouTube Kids, Kiddle, Bayam | Poser une question avant de cliquer, reconnaître une pub |
| 9-10 ans | Rechercher et vérifier | Lumni, ressources BNF, Google Search filtré | Citer une source, croiser deux résultats |
| 11-12 ans | Publier et débattre | Chromebook en classe, outils collaboratifs | Respecter la vie privée, argumenter sans harceler |
| Collège | Gérer son identité numérique | Pix (parcours adaptés), Google Families | Paramétrer la confidentialité, analyser un biais |
Cas d’usage de Maya et de l’école des Tilleuls
Maya accompagne un groupe de CE2 qui doit réaliser un mini-magazine. Les enfants cherchent des images sur Kiddle, écrivent des légendes, et vérifient avec Lumni un fait historique. L’enseignante valide sur Chromebook les crédits et le droit d’auteur, puis imprime une version physique. La séance suivante, les élèves comparent deux résultats contradictoires et apprennent à remonter à l’auteur.
- Avant la séance : activer un filtre SafeSearch et préparer trois sources fiables.
- Pendant : minuter le temps d’écran et alterner oral/écrit.
- Après : publier en interne, puis démarrer un fil de discussion guidé sur la pertinence des sources.
La cohérence entre foyer, école et médiathèque crée un environnement d’apprentissage continu où l’enfant devient acteur de sa vie numérique.
Learn with Sesame Street sur Google Play et Apprentissage avec Google Families : des parcours concrets à déployer
L’application Learn with Sesame Street, conçue avec une approche fondée sur la recherche, propose des modules courts qui s’intègrent facilement à une journée de classe ou à un temps périscolaire. Chaque module associe une vidéo, une micro-activité et une discussion guidée. Cette granularité permet aux équipes éducatives d’insérer un apprentissage chaque jour, sans bouleverser l’emploi du temps.
Du côté des familles, la section Apprentissage et exploration de Google Families centralise guides, check-lists et conseils, avec un ton non culpabilisant. Les parents visualisent des routines réalistes : activer un mode “temps calme” avant le coucher, mettre en favoris une playlist de vidéos éducatives sur YouTube Kids, ou définir des créneaux “sans écran” le week-end.
Dans la classe de l’école des Tilleuls, les Chromebook sont utilisés pour des mini-projets de 20 minutes : lecture d’une vidéo Sesame Street, quiz rapide, puis jeu de rôle. Le vendredi, les élèves rédigent une règle d’or sur un tableau collaboratif. Cette répétition hebdomadaire favorise la transposition en situations réelles (jeux en ligne, messageries d’école, plateformes éducatives).
- Micro-leçons : 7 à 10 minutes, un concept, un geste à ancrer.
- Routines sereines : “Stop & Breathe”, “Read the Source”, “Ask an Adult”.
- Checklists familles : paramètres YouTube Kids, limites de temps, lieux communs pour les écrans.
- Suivi : journal de classe, feedback familial, progression observée par les enseignants.
| Module | Objectif | Activité | Mesure |
|---|---|---|---|
| Respirer avant de cliquer | Régulation émotionnelle | Vidéo + respiration guidée | Moins de réactions impulsives en simulation |
| Vérifier la source | Esprit critique | Comparer 2 résultats | Capacité à citer et expliquer la source |
| Parler gentiment en ligne | Empathie | Jeu de rôle de commentaires | Rédaction de 3 réponses respectueuses |
| Protéger ses infos | Confidentialité | Paramétrage fictif | Choix de paramètres adaptés |
Intégrations utiles pour les éducateurs et les CM
Pour les enseignants et responsables de communication, l’enjeu est de diffuser et d’animer. Un groupe de parents sur une plateforme type Edmodo peut accueillir les fiches récapitulatives et les défis hebdomadaires. Un community manager d’école peut décliner les messages en carrousels social media, avec des personnages de Sesame Street et des call-to-action clairs. L’objectif : renforcer la cohérence entre présence en ligne et présence terrain.
- Pour les écoles : calendrier éditorial affiché, QR codes vers les playlists.
- Pour les bibliothèques : ateliers mensuels thématiques et vitrines pédagogiques.
- Pour les associations : kits prêts à l’emploi, charte numérique partagée.
En intégrant ces briques dans vos routines, vous créez un écosystème cohérent qui soutient l’enfant à chaque étape.

Ressources pédagogiques — Google for Education, vidéos guidées et ateliers : ancrer la littératie numérique en classe
Les ressources pédagogiques de Google for Education facilitent l’apprentissage par la pratique et la créativité. Les enseignants y trouvent des parcours structurés, des modèles de séances et des outils pour co-créer des supports avec les élèves. Couplées aux contenus Sesame Street, ces ressources rendent l’abstraction concrète et mémorable.
Le Centre canadien d’éducation aux médias et de littératie numérique propose, lui, une série de vidéos et de guides scénarisés par tranches d’âge. En combinant ces ressources avec les capsules Sesame Street, vous obtenez un continuum riche : un point d’entrée ludique, puis une montée en complexité graduée. Le CDÉACF recense également des dossiers thématiques utiles pour aborder l’inclusion, l’accessibilité et la participation citoyenne des jeunes.
Pour structurer un trimestre, adoptez une logique de “sprints” thématiques : trois semaines sur la vérification de l’information, deux sur la bienveillance en ligne, deux sur la protection des données, puis une semaine de projets. Chaque sprint mêle vidéos, ateliers, mini-recherches et restitution. Les élèves deviennent producteurs : réalisation d’une affiche numérique, rédaction d’une charte de classe, simulation de modération de commentaires.
- Plan type de sprint : découverte (vidéo), pratique (atelier), consolidation (projet), restitution (présentation).
- Outils transverses : Chromebook pour la production, YouTube Kids pour l’inspiration, Pix pour l’évaluation progressive.
- Trace écrite : carnet de bord, fiches de bonnes pratiques, charte co-signée par tous.
| Ressource | Usages recommandés | Bénéfices | Preuve d’apprentissage |
|---|---|---|---|
| Google for Education (modèles) | Préparer fiches et supports | Gain de temps, homogénéité | Qualité des productions élèves |
| Vidéos Sesame Street | Lancer la discussion | Engagement initial | Participation active, mémorisation |
| Guides du CDÉACF | Approfondir et différencier | Adaptation par âge | Progression observable sur 6-8 semaines |
| Ressources BNF et Lumni | Recherches et sources | Crédibilité des références | Citations correctes, bibliographie |
Animation et diffusion : le rôle des communicants
Un community manager d’établissement peut amplifier ces apprentissages en ligne. Programmez des posts “1 geste par semaine” sur Facebook, Instagram, X et LinkedIn. Chaque post renvoie à une activité à faire en classe ou en famille, avec un visuel clair, des couleurs vives et une accroche simple. Les résultats se mesurent sur la participation aux ateliers, les interactions qualitatives et le partage entre parents.
- Canaux : réseaux sociaux de l’établissement, newsletter, site web.
- Formats : carrousels, stories éducatives, courtes vidéos, infographies.
- Indicateurs : taux d’enregistrement, réponses aux sondages, inscriptions aux ateliers.
Cette orchestration en ligne/hors ligne sécurise l’apprentissage et installe un langage commun entre élèves, équipes pédagogiques et familles.

G comme Grandir : mesurer l’impact, lutter contre la désinformation et préparer une participation numérique responsable
La question centrale n’est pas “plus ou moins d’écran”, mais “quelle qualité d’usage” et “quels repères”. Les recherches rassemblées dans G Is for Growing montrent qu’un récit éducatif incarné accélère l’acquisition de compétences socio-émotionnelles. Appliqué au numérique, cela signifie mieux réguler ses émotions, demander de l’aide, vérifier une information et interagir avec respect. Ces compétences fondent une participation responsable, comme le souligne un chapitre consacré aux cultures numériques des jeunes dans le contexte européen.
Pour éviter la désinformation, entraînez le réflexe du doute positif. Un élève apprend à poser trois questions simples avant de partager : qui parle, sur quoi, avec quelles preuves ? En classe, vous pouvez simuler une rumeur et observer comment elle circule, puis analyser ce qui l’arrête : une source fiable, un adulte référent, un outil de vérification. Kiddle, en tant que moteur sécurisé, et Lumni, pour accéder à des contenus validés, constituent des appuis concrets.
La mesure de l’impact ne se limite pas aux résultats scolaires. Elle inclut la confiance des enfants à dire “je ne sais pas, je vérifie”, la baisse d’incidents en ligne signalés à l’école, et l’amélioration du climat de classe. Les bibliothèques jouent un rôle clé avec des ateliers intergénérationnels, soutenus par des relais en ligne. Une tournée nationale d’ateliers, animée par des bibliothécaires, peut démultiplier la portée en normalisant les discussions sur les usages du web.
- Anti-désinfo : tri des sources, signalements, langage clair.
- Participation : projets collaboratifs, chartes co-construites, débats régulés.
- Mesure : indicateurs mixtes (quantitatifs et qualitatifs), retours des familles.
- Écosystème : écoles, médiathèques, associations, plateformes éducatives.
| Objectif | Action | Outil/Support | KPI observables |
|---|---|---|---|
| Réduire la désinformation | Routine “3 questions” | Fiches de classe, vidéos | Moins de partages erronés en simulation |
| Améliorer le climat en ligne | Charte de commentaires | Pad collaboratif sur Chromebook | Baisse des signalements internes |
| Soutenir les familles | Ateliers et guides | Google Families, YouTube Kids | Activation des paramètres, retours positifs |
| Structurer l’évaluation | Parcours progressifs | Pix, dossiers d’élèves | Progression trimestrielle sur compétences clés |
Conseils opérationnels pour 90 jours
Visez une feuille de route simple. Mois 1 : sensibiliser (vidéos + discussions). Mois 2 : pratiquer (ateliers + mini-projets). Mois 3 : formaliser (charte + restitution publique). Du côté communication, publiez toutes les semaines un conseil visuel décliné pour Facebook, Instagram, X et LinkedIn. Les CM et freelances peuvent s’associer à des institutions culturelles comme la Bibliothèque nationale de France pour créer des formats de médiation adaptés au territoire.
- Semaine 1 à 4 : installation des rituels et des règles communes.
- Semaine 5 à 8 : projets guidés et débats argumentés.
- Semaine 9 à 12 : mesure, partage des résultats, amélioration continue.
À terme, vous installez des réflexes durables, capables d’évoluer avec les plateformes et les usages des jeunes.
En bref
- Alliance éducative : Google et Sesame Street unissent contenus vidéo, ateliers en bibliothèque et formations pour adultes.
- Écosystème outillé : YouTube Kids, Google Families, Chromebook, Pix, Kiddle, Lumni, Bayam, Bibliothèque nationale de France (BNF, Edmodo.
- Pédagogie efficace : micro-leçons, jeux de rôle, chartes de classe et évaluations continues.
- Impact mesurable : réduction des comportements à risque, amélioration du climat numérique, montée en compétence des familles et des enseignants.
- Communication active : déclinaisons social media pour entretenir l’engagement et la cohérence des messages.
Quels outils activer en premier pour sécuriser les usages à la maison ?
Commencez par Google Families pour paramétrer le temps d’écran et les filtres, puis installez YouTube Kids pour le visionnage encadré. Ajoutez Kiddle comme moteur de recherche par défaut et partagez avec l’enfant des playlists éducatives validées (ex. Lumni).
Comment intégrer ces ressources dans une classe équipée de Chromebook ?
Planifiez des micro-leçons de 10 minutes : une vidéo Sesame Street, une activité guidée et un court débrief. Utilisez les modèles Google for Education pour les supports et Pix pour suivre la progression sur les compétences numériques.
Existe-t-il des activités adaptées aux bibliothèques et centres sociaux ?
Oui. Les ateliers itinérants s’appuient sur des vidéos courtes, des jeux de rôle et des fiches familiales. Les bibliothécaires animent des séances enfant-accompagnant avec démonstration des réglages de base et une mini-charte à emporter.
Comment lutter contre la désinformation avec des enfants de 9-11 ans ?
Utilisez la routine “3 questions” (qui parle, sur quoi, avec quelles preuves), comparez deux résultats contradictoires, et proposez une restitution où chaque élève cite ses sources. Appuyez-vous sur Lumni et les ressources de la BNF pour modéliser une vérification sérieuse.
Quel rôle pour les community managers d’établissements ?
Créez un calendrier éditorial ‘1 geste par semaine’, décliné en carrousels et stories. Reliez chaque publication à une activité en classe ou en famille, et mesurez via les interactions qualitatives, les inscriptions aux ateliers et le bouche-à-oreille local.



